Said Zarrou, nouveau directeur de l’Agence d’Aménagement du Bouregreg.
Toujours à la conquête de nouveaux challenges.
Comme nous l’avions publié auparavant, les bons résultats réalisés par Saïd Zarrou dans la gestion de l’Agence d’aménagement de la lagune de Marchica (NADOR), lui ont ouvert un nouvel horizon. Un nouveau challenge pour cet homme de défis connu par sa stratégie gagnante : il est un bon fédérateur de son entourage. Portrait.
Said Zarrou vient d’être nommé par SM le Roi à la tête de l’Agence d’aménagement de Bouregreg. Un chantier qu’il connait très bien puisqu’il l’a monté et géré en toute pièce. Un exploit qui s’ajoute à son palmarès de cadre chevronné. De Bouregreg vers Nador puis un retour mérité à Bouregreg. Il y revient de la Marchica, où il a été nommé auparavant par le Souverain à la tête d’une autre grande agence qui ne manque pas d’importance non plus : l’Agence pour l’Aménagement du site de la lagune de Marchica.
Depuis, ce natif de Tanger, père de quatre enfants, travaille avec détermination pour réussir ce nouveau challenge dont les retombées économiques sont innombrables pour la région de Nador.
Le parcours scolaire de ce cadre marocain, dont la compétence dépasse les frontières, est riche et diversifié.
Titulaire d’un diplôme d’ingénieur en Génie civil de l’ISIB (Institut supérieur des ingénieurs de Bruxelles) en 1985 et d’ingénieur en Hydraulique à l’Ecole nationale supérieure d’électrotechnique, d’électronique, d’informatique, d’hydraulique et des télécommunications de Toulouse (1986), Zarrou a commencé sa carrière comme ingénier au LPEE, au Centre expérimental d’Hydraulique. Un poste qu’il a occupé de juin 1986 à août 1990. Son professionnalisme et son assiduité ont eu le mérite d’une nouvelle nomination au CID, au département Etudes et Surveillances des travaux maritimes. Cette courte expérience de trois ans (de juin 1990 à août 1992), a aiguisé ses compétences et lui a permis de prouver son expertise. Réputé par ses qualités humaines et ses relations professionnelles de haut niveau, Zarrou a fait objet d’une concurrence entre les recruteurs qui n’ont pas hésité à solliciter ses services. A cette époque, le choix de Zarrou est tombé sur le Groupe ONA Immobilier où il travaillé de septembre 1992 à avril 1999.
Entre autres, Zarrou a occupé divers postes : il a été de 1992 à 1995, directeur des travaux du projet Cabo Negro, puis directeur dudit projet de 1995 à 1999 avant de prendre en charge la direction d’exploitation du site de Cabo Negro et du Golf.
Et ce n’est pas tout, Zarrou a occupé de mai 1999 à mai 2004, divers postes clés dans plusieurs entités nationales, en l’occurrence directeur général de SOGESITES et de directeur général-adjoint du projet Bouznika Bay. Juste après, l’actuel manager du projet Marchica a été nommé directeur du « Pôle Aménagements » de l’Agence pour l’aménagement de la Vallée du Bouregreg. Une mission qu’il a menée à bien. Ce qui lui a valu l’honneur d’une nomination Royale à la tête de la direction de l’Agence pour l’Aménagement du site de la lagune de Marchica.
Ainsi, en avril 2008, Zarrou a été nommé président du directoire de la Société d’Etat pour le développement de la lagune de Marchica (Marchica MED SA). Comme il a également occupé en septembre 2009 le poste de président directeur général d’Atalayoun Golf Resort SA.
Contacté par Sakane.ma, Zarrou a confié modestement, qu’il ne se préoccupe que peu de son parcours. En revanche, il concentre tout son intérêt sur l’avenir de ce nouveau chantier auquel il fourni toute son attention et ses efforts pour réaliser ses objectifs. Des objectifs dont il place la barre très haute. Il a toujours avoué que son réel challenge est de surpasser largement ses propres objectifs.
Et pas n’importe comment. Le responsable les surpasse largement que tout le monde en parle. Pour preuve, le Chef du gouvernement l’a félicité lors du dernier conseil d’administration de l’Agence pour le développement de la lagune de Marchica quelques jours avant sa nomination à la tête de celle de Bouregreg.
Effectuant de multiples voyages d’affaires, dans le cadre de la commercialisation et le développement des projets qu’on lui confie, M. Zarrou n’oublie jamais sa petite famille qu’il « adore le plus au monde ».
En un mot : sa réussite revient à son entourage. Sa famille, ses amis et ses proches collaborateurs sont sa source de force et sa mine d’énergie. D’ailleurs il a toujours été un bon fédérateur de son entourage.