Révolution dans la gestion de l’eau à Casablanca-Settat : 33 stations monoblocs pour une alimentation en eau potable garantie
Le Conseil régional de Casablanca-Settat dévoile un projet ambitieux de 400 millions de DH visant à installer 33 stations de dessalement et de déminéralisation. Cette initiative stratégique répond de manière proactive à la crise hydrique menaçant la région.
Une réponse audacieuse aux défis liés à l’eau émerge dans la région de Casablanca-Settat avec l’annonce de la mise en place de 33 stations monoblocs de dessalement et de déminéralisation. Intégré dans le Plan de développement régional (PDR) 2022-2027, ce projet colossal représente une étape cruciale dans la gestion de la ressource hydrique de cette région stratégique du Maroc.
Lors de sa session ordinaire le 4 mars, le Conseil régional de Casablanca-Settat a dévoilé plusieurs projets, parmi lesquels celui-ci se distingue par son envergure et son impact potentiel sur la vie quotidienne des habitants. Dotée d’un budget de 400 millions de DH, cette initiative ambitieuse vise à répondre aux besoins en eau potable, en particulier dans les zones rurales confrontées à une situation hydrique critique cette année.
Parmi les 13 projets présentés dans les secteurs hydriques, environnementaux et de développement durable, les stations de dessalement et de déminéralisation se démarquent avec un financement conséquent de 400 MDH. Une alliance stratégique entre le ministère de l’Intérieur, la wilaya de Casablanca-Settat, le Conseil régional, ainsi que des régies autonomes, a été établie pour financer et mettre en œuvre ce projet d’envergure.
Concrètement, le projet prévoit la mise en place de huit stations monoblocs de dessalement de l’eau de mer, ainsi que 25 stations monoblocs de déminéralisation de l’eau saumâtre. Ce déploiement massif couvrira plusieurs localités clés de la région, assurant ainsi un approvisionnement fiable et durable en eau potable. Des efforts concertés seront également déployés pour raccorder les nouvelles installations au réseau électrique et au réseau d’eau potable existant, garantissant ainsi une distribution efficace et équitable de l’eau traitée.
Le financement de ce projet novateur repose sur une contribution significative du ministère de l’Intérieur à hauteur de 272 MDH, complétée par un investissement de 128 MDH de la part de la région de Casablanca-Settat. Ces fonds permettront de réaliser les différentes phases du projet, notamment la mise en place des stations, l’équipement des forages, ainsi que leur raccordement aux réseaux d’électricité et d’eau potable.
Ainsi, cette initiative ambitieuse s’inscrit dans une démarche plus vaste de préservation des ressources hydriques et de renforcement de la résilience face aux défis environnementaux. Elle reflète la vision stratégique de la région de Casablanca-Settat pour une gestion durable de l’eau, un pilier essentiel pour assurer un avenir prospère et durable à ses habitants.
Une réponse audacieuse aux défis liés à l’eau émerge dans la région de Casablanca-Settat avec l’annonce de la mise en place de 33 stations monoblocs de dessalement et de déminéralisation. Intégré dans le Plan de développement régional (PDR) 2022-2027, ce projet colossal représente une étape cruciale dans la gestion de la ressource hydrique de cette région stratégique du Maroc.
Lors de sa session ordinaire le 4 mars, le Conseil régional de Casablanca-Settat a dévoilé plusieurs projets, parmi lesquels celui-ci se distingue par son envergure et son impact potentiel sur la vie quotidienne des habitants. Dotée d’un budget de 400 millions de DH, cette initiative ambitieuse vise à répondre aux besoins en eau potable, en particulier dans les zones rurales confrontées à une situation hydrique critique cette année.
Parmi les 13 projets présentés dans les secteurs hydriques, environnementaux et de développement durable, les stations de dessalement et de déminéralisation se démarquent avec un financement conséquent de 400 MDH. Une alliance stratégique entre le ministère de l’Intérieur, la wilaya de Casablanca-Settat, le Conseil régional, ainsi que des régies autonomes, a été établie pour financer et mettre en œuvre ce projet d’envergure.
Concrètement, le projet prévoit la mise en place de huit stations monoblocs de dessalement de l’eau de mer, ainsi que 25 stations monoblocs de déminéralisation de l’eau saumâtre. Ce déploiement massif couvrira plusieurs localités clés de la région, assurant ainsi un approvisionnement fiable et durable en eau potable. Des efforts concertés seront également déployés pour raccorder les nouvelles installations au réseau électrique et au réseau d’eau potable existant, garantissant ainsi une distribution efficace et équitable de l’eau traitée.
Le financement de ce projet novateur repose sur une contribution significative du ministère de l’Intérieur à hauteur de 272 MDH, complétée par un investissement de 128 MDH de la part de la région de Casablanca-Settat. Ces fonds permettront de réaliser les différentes phases du projet, notamment la mise en place des stations, l’équipement des forages, ainsi que leur raccordement aux réseaux d’électricité et d’eau potable.
Ainsi, cette initiative ambitieuse s’inscrit dans une démarche plus vaste de préservation des ressources hydriques et de renforcement de la résilience face aux défis environnementaux. Elle reflète la vision stratégique de la région de Casablanca-Settat pour une gestion durable de l’eau, un pilier essentiel pour assurer un avenir prospère et durable à ses habitants.
