Sous le Haut Patronage de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, la huitième édition du Salon International des Technologies de l’Eau (SITeau) se tiendra à Casablanca du 2 au 4 juillet 2024.
Organisé par Field Attitude, la Coalition Marocaine de l’Eau et leurs partenaires, cet événement survient à la suite du dixième Forum Mondial prévu à Bali du 18 au 25 mai 2024.
Selon le communiqué de presse de l’organisateur, dont le journal a reçu une copie, cette huitième édition du salon offre, grâce au succès des sept éditions précédentes et au soutien des institutions et parties prenantes nationales et internationales, une nouvelle opportunité d’échanges, de rencontres et de partenariats pour relever les défis récurrents et nouveaux liés à l’eau, à l’assainissement et à l’énergie.
Selon le communiqué de presse de l’organisateur, dont le journal a reçu une copie, cette huitième édition du salon offre, grâce au succès des sept éditions précédentes et au soutien des institutions et parties prenantes nationales et internationales, une nouvelle opportunité d’échanges, de rencontres et de partenariats pour relever les défis récurrents et nouveaux liés à l’eau, à l’assainissement et à l’énergie.
Bien qu’il y ait un consensus sur la nature locale de la question de l’eau, il est également reconnu qu’il s’agit d’un enjeu global de premier plan, confronté à des contraintes particulières dues au changement climatique.
Il convient de noter que l’eau est une problématique complexe et exemplaire qui interagit avec les objectifs de développement durable et les questions territoriales (locales, régionales et internationales), l’éducation, le changement climatique, la sécurité hydrique, la sécurité alimentaire, la santé, l’énergie, l’équilibre entre l’offre et la demande, la technologie et l’innovation, les investissements, la démographie, l’urbanisation, la migration, la gouvernance, la paix/conflit, la stratégie géographique, et bien d’autres.
À cette fin, le concept émergent de l’économie verte, aux côtés de celui du développement durable, invite les parties prenantes concernées à rechercher des méthodes de gestion et de mise en œuvre de projets adaptées aux transformations paradigmatique.
Explorer la place de l’eau en tant que « question nationale » dans le contexte des complexités actuelles dues aux changements climatiques et à la rareté, et la nécessité de rapprocher les politiques sectorielles, permettra de proposer des solutions, méthodologies et approches innovantes pour la mise en œuvre de programmes et projets, ainsi que des scénarios d’amélioration de la gouvernance, quel que soit le secteur concerné et sa taille.
Explorer la place de l’eau en tant que « question nationale » dans le contexte des complexités actuelles dues aux changements climatiques et à la rareté, et la nécessité de rapprocher les politiques sectorielles, permettra de proposer des solutions, méthodologies et approches innovantes pour la mise en œuvre de programmes et projets, ainsi que des scénarios d’amélioration de la gouvernance, quel que soit le secteur concerné et sa taille.
La question ne concerne plus uniquement la sécurité hydrique, mais plutôt comment vivre avec ce modèle devenu un facteur déterminant et un levier clé pour le développement durable, appelant les acteurs à réévaluer leur responsabilité sociétale.
Le programme de cette huitième édition du SITeau comprend, entre autres, une exposition des métiers de l’eau, de l’assainissement et de l’énergie, ainsi qu’un programme scientifique incluant la tenue d’une conférence internationale de haut niveau en partenariat avec la Coalition Marocaine de l’Eau, sous le thème général « De la contrainte à la sécurité hydrique : quelles solutions pour faire face aux complexités de l’eau », avec des interventions de spécialistes locaux et internationaux visant à équilibrer les concepts et les actions sur le terrain.
La conférence se conclura par des recommandations.
En parallèle, une table ronde organisée par le Fonds de Dépôt et de Gestion portera sur « La situation des technologies dans le domaine de la désalinisation de l’eau », avec un dialogue intergénérationnel entre « jeunes » et « aînés » pour échanger les expériences.
Enfin, le renforcement des capacités : deux sessions de formation seront organisées, la première sur les aspects juridiques et institutionnels de l’eau et la seconde sur la médiation.
