Matériaux de construction.. Smm-Socodam-Davum compte à son actif un grand nombre de chantiers d’envergure
Smm-Socodam-Davum, la filiale du groupe Safari, fête cette année son centenaire avec à son actif un grand nombre de chantiers d’envergure. Elle a participé dans plusieurs chantiers, notamment les ponts à haubans du Bouregreg et de Sidi Maârouf, LGV, trémies Almohades et Azbane, tour CFC, port Jorf Lasfar, théâtre de Rabat. Fruit de la fusion entre SMM DAVUM créée en 1919 et SOCODAM créée en 1945, Smm-Socodam-Davum est devenue au fil des ans un acteur de référence dans l’industrie des matériaux de construction et de la métallurgie.
Pionnière dans l’introduction du plancher préfabriqué en béton armé au Maroc, avec sa marque «plancher DAVUM» qui demeure dans son secteur un label de qualité, l’entreprise est leader incontestable dans le domaine des armatures industrielles pour béton. Elle est aussi un acteur incontournable dans le parachèvement des aciers plats (planage et refendage de tôles, profilage de tubes) ainsi que dans le négoce des produits métallurgiques et des aciers spéciaux. Depuis près de dix ans, l’entreprise a élargi ses activités au secteur du béton prêt à l’emploi où elle se distingue par la qualité de ses produits et son niveau de service.
Smm-Socodam-Davum a consolidé sa position sur le marché grâce à la contribution de ses clients, des partenaires qui lui ont fait confiance durant des décennies et qui l’ont accompagnée dans son développement. A l’occasion de son centenaire, elle tient à les assurer de son engagement de continuer à œuvrer au mieux pour demeurer à la hauteur de leurs attentes.
Aujourd’hui, Smm-Socodam-Davum continue à assumer son rôle majeur dans le développement des infrastructures et du bâtiment du Maroc. Les derniers ouvrages en date sont le pont à haubans de Casablanca ouvert à la circulation depuis quelques semaines et la tour de Casa-Finance-City qui commence à accueillir ses premiers locataires à Casa-Anfa. Smm-Socodam-Davum a également pris part, aux côtés d’entreprises marocaines, à la réalisation de projets d’infrastructure en Afrique notamment en Guinée Equatoriale et au Sénégal.
Des projets qui impliquent des défis techniques et exigent un savoir-faire rigoureux : une cadence soutenue de production, une expertise dans le façonnage et l’assemblage et une forte réactivité tant au niveau logistique qu’au niveau des travaux de pose. Ces chantiers mobilisent par ailleurs d’importantes ressources humaines et matérielles. A titre d’exemple, les ouvrages réalisés dans le cadre de la ligne à grande vitesse (LGV) ont nécessité 50.000 tonnes d’armatures et plus de 1,5 million d’heures de travail.
Face aux nouveaux enjeux du Royaume en matière de développement durable, Smm-Socodam-Davum s’est engagé dans un vaste programme d’investissement qui préserve l’environnement et qui s’élève à 350 millions de dirhams étalés sur trois ans. L’entreprise, qui affiche un chiffre d’affaires annuel dépassant largement le milliard de dirhams, est aujourd’hui à mi-parcours de son ambitieux projet déjà réalisé à hauteur de 60%.
Il prévoit la construction de plusieurs sites de production notamment à Tanger, Kenitra et Jorf Lasfar. Ces derniers complètent ceux dont dispose déjà l’entreprise à Casablanca, couvrant ainsi les zones du Centre et du nord du Royaume : six sites industriels au total.
Smm-Socodam-Davum, qui emploie déjà plus d’un millier de salariés, projette la création de trois cents emplois directs et cinq cents emplois indirects dans les régions qui accueilleront ses futurs sites de production plus proches de la clientèle locale et s’inscrivant dans le développement régional du Maroc.
L’entreprise s’investit aussi dans l’innovation et le renforcement des normes de qualité. Elle s’est engagée depuis longtemps dans la voie de l’amélioration continue. Elle est d’ailleurs la première à certifier ses produits : rond à béton laminé à froid, treillis soudés, blocs en béton pour plancher et cloisons… Forte de ses valeurs, de son expérience et de son capital humain, Smm-Socodam-Davum aborde résolument et avec optimisme son deuxième siècle.